OMG !
Désolé d’être un peu brutal mais on n’est pas là pour réinventer la poudre.
Pour fabriquer un FAT il faut déjà connaître son fonctionnement et son utilité.
L’eau d’un bassin doit être renouvelée régulièrement par petites quantités.
5 a 10% du volume par semaine c’est très bien.
À partir de là, la consommation d’eau du FAT est négligeable et contribue à ce renouvellement d’eau en même temps qu’il évacue les déchets.
Le débat sur la consommation d’eau t donc futile.
Pour un même bassin, un gros FAT déclenchera moins souvent donc moins d’usures, moins de bruit aussi (car si c’est s bien isolé, on entend bien le pchittt)
Autre idée fausse, la partie immergé du tambour n’est pas nettoyé… au contraire c’est la partie qui se colmate.
Lors du rinçage il faut donc faire tourner entièrement le tambour pendant que les buses de rinçage le nettoient. Donc la hauteur hors d’eau pour loger la gouttière importe peut.
En ce qui concerne le dimensionnement, personne ici n’a fait de calcul théorique donc on ne pourra pas te donner de chiffres précis. Il suffit de s’inspirer des FAT pro des marques sérieuse et de copier en fonction de ces moyen et capacité technique.
Il faut garder en tête que les solutions les plus simples sont les moins compliquées et donc les plus fiables.
Pareille pour la consommation électrique, le moteur et la pompe vont tourner par exemple 4x30s/h soit 2min/h soit 48min/j soit moins de 30 euros l’année pour 500w.
Et je suis large car ceux qui on des FAT bien dimensionné ça doit déclencher 1 à 2 fois par heures voir moins l’hiver.
Conclusion, l’eau et l’électricité on s’en fou (du moins pour le FAT) ce qui compte c’est la fiabilité.